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 Découverte d'artiste

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heidegger
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MessageSujet: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMar 19 Sep - 10:45

Je vais faire comme sur mon fofo (nifelM), tous les jours je vais vous présenter un artiste mais avec un jour de décalage ^^

Aujourd'hui Johnny Cash, l'homme en noir (1932 ; 2003)

Découverte d'artiste Cashfingersw1.th

Biographie


Né le 26 février 1932 à Kingsland, dans l'Arkansas (Etats-Unis).
Une adhésion presque unanime
J.R. Cash vient d'un milieu modeste de l'Arkansas, où il a grandi avec ses quatre frères et sœurs. Il s'imprègne rapidement de la musique folk, de la country et des chants religieux, ce qui le pousse à écrire sa première chanson à l'âge de 12 ans. Après son enrôlement à l'American Air Force durant la guerre de Corée, il revient aux Etats-Unis et s'installe à Memphis où il épouse Vivian Liberto.
En 1955, il parvient à décrocher un contrat pour le label rock'n'roll Sun Records, et enregistre les titres "Hey Porter" et "Cry cry cry", qu'il a composés lui-même. Le succès est immédiat. Le deuxième titre se retrouve à la quatorzième place des ventes et en deux ans, Johnny Cash (dont le prénom est une idée du producteur de Sun Records, Sam Phillips) devient l'idole des jeunes américains. Il enchaîne les tubes grâce à une musique country à la frontière du rock'n'roll et du honky tonk, que sa voix grave magnifie avec élégance. "Folsom Prison Blues", "Give my love to Rose", "Train of love" et "I walk the line" sont autant de succès qui prouvent la grande capacité d'écriture de celui que tout le monde nomme "the man in black". En 1957, le chanteur enchaîne près de deux cents concerts par an, au cours desquels il va faire la rencontre de celle qui sera sa muse, la chanteuse de country June Carter.

"The man in black"

Comme la plupart des stars de l'époque, Johnny devient cependant accroc aux amphétamines, ce qui se ressent de plus en plus dans sa musique, à la rythmique plus nerveuse et tendue. Seulement, le chanteur ne s'en cache pas, et son couple part à la dérive. Depuis quelques temps, il désire aussi réaliser un album gospel, mais Sam Phillips refuse de le produire, ce qui le pousse à signer chez Columbia en 1958.
La musique de Johnny Cash change. Elle devient plus personnelle et libre, mais surtout plus pop, dans les cordes de ce qui se fait dans les années 1960. Il y raconte l'histoire de l'Amérique et de la country, et accueille dans ses chœurs la belle June Carter, qui connaît des difficultés pour percer dans le milieu. "Don't take your guns to town", "I got stripes", "Five feet high and rising" et "Ring of fire" sont des exemples de ses nouveaux tubes.
En 1966, sa femme Vivian demande le divorce. Sa dépendance à la drogue devient alors de plus en plus inquiétante, et sa santé se dégradant, Johnny disparaît peu à peu du paysage musical. Diverses actions lui permettent cependant de continuer à faire parler de lui, notamment en 1968 lors de son mariage avec la chanteuse June Carter. Cette même année, il part chanter pour les détenus de la prison de Folsom, un geste qui restera lié à jamais à l'histoire du personnage. Il réitère peu de temps après au pénitencier de San Quentin. Ces deux prestations exceptionnelles donneront naissance à deux albums live à la symbolique très forte. A la fin des années 1960, Johnny Cash est devenu une véritable star à qui on propose de présenter "le Johnny Cash Show", un programme country qui marquera la télévision américaine jusqu'en 1971.

Une carrière qui fait légende

Mais sa musique ne correspond plus à la veine des années 1970, et Cash commence à faire figure de légende du country face au succès de certains de ses successeurs, tels que Waylon Jennings ou Billy Ray Cirus. C'est tour à tour Columbia puis Mercury qui le congédient, jusqu'à ce que Rick Rubin (producteur des Beastie Boys, Slayer et les Red Hot Chili Peppers) vienne redonner un nouveau souffle à la carrière du chanteur, affaibli par la drogue et le diabète.
1994 marque un nouveau départ pour la star du country, qui enregistre quatre nouveaux disques, dont le tant désiré album de gospel "My mother's hymn book". Johnny Cash se remet à collectionner les trophées, dont plusieurs Grammy Awards (onze au total dont un en 1998 pour l'ensemble de son œuvre), et il se fait plaisir en reprenant ses anciens titres ou ceux des autres, en acoustique ou en duo.
Le 15 mai 2003, sa compagne June disparaît. Il la rejoint quatre mois plus tard, le 12 septembre, à l'âge de 71 ans. Trois ans après sa mort, l'acteur américain Joaquin Phoenix campe le rôle du célèbre chanteur de country dans "Walk the Line", sur les écrans depuis le 15 février 2006. Un hommage rendu à sa musique et à sa vie, marquée par la débauche et son idylle avec June Carter (Reese Witherspoon)











DICOGRAPHIE


Albums

* 1957 - Johnny Cash and His Hot and Blue Guitar
* 1958 - Johnny Cash Sings the Songs That Made Him Famous
* 1959 - The Fabulous Johnny Cash
* 1959 - Hymns by Johnny Cash
* 1959 - Songs of Our Soil
* 1959 - Greatest Johnny Cash
* 1960 - Johnny Cash Sings Hank Williams
* 1960 - Ride This Train
* 1960 - Now There Was A Song
* 1961 - Now, Here's Johnny Cash
* 1962 - Hymns from the Heart
* 1962 - The Sound of Johnny Cash
* 1962 - All Aboard the Blue Train
* 1963 - Blood, Sweat and Tears
* 1963 - Ring of Fire
* 1963 - The Christmas Spirit
* 1964 - Keep on the Sunny Side
* 1964 - I Walk the Line
* 1964 - The Original Sun Sound of Johnny Cash
* 1964 - Bitter Tears: Ballads of the American Indian
* 1965 - Orange Blossom Special
* 1965 - Ballads of the True West
* 1965 - Mean as Hell
* 1966 - Everybody Loves a Nut
* 1966 - Happiness is You
* 1967 - Johnny Cash & June Carter: Jackson
* 1967 - Johnny Cash's Greatest Hits
* 1967 - Carryin' on with Cash and Carter
* 1968 - From Sea to Shining Sea
* 1968 - At Folsom Prison
* 1968 - The Holy Land
* 1969 - At San Quentin
* 1969 - Johnny Cash
* 1969 - Original Golden Hits, Volume I
* 1969 - Original Golden Hits, Volume II
* 1969 - Story Songs of the Trains and Rivers
* 1969 - Got Rhythm
* 1970 - Johnny Cash Sings Folsom Prison Blues
* 1970 - The Blue Train
* 1970 - Johnny Cash Sings the Greatest Hits
* 1970 - Johnny Cash and June Carter Cash: Jackson
* 1970 - Johnny Cash: The Legend
* 1970 - The Walls of a Prison
* 1970 - Sunday Down South
* 1970 - Showtime
* 1970 - Hello, I'm Johnny Cash
* 1970 - The Singing Storyteller
* 1970 - The World of Johnny Cash
* 1970 - Johnny Cash Sings I Walk the Line
* 1970 - The Rough Cut King of Country Music
* 1970 - The Johnny Cash Show
* 1970 - I Walk the Line - Movie Soundtrack
* 1970 - Little Fauss and Big Halsy - Movie Soundtrack
* 1971 - Man in Black
* 1971 - Johnny Cash and Jerry Lee Lewis Sing Hank Williams
* 1971 - Johnny Cash: The Man, His World, His Music
* 1971 - The Johnny Cash Collection: Greatest Hits Volume II
* 1971 - Understand Your Man
* 1971 - Original Golden Hits, Volume III
* 1972 - A Thing Called Love
* 1972 - Give My Love to Rose
* 1972 - America
* 1972 - The Johnny Cash Songbook
* 1972 - Christmas: The Johnny Cash Family
* 1973 - The Gospel Road
* 1973 - Any Old Wind That Blows
* 1973 - Now, There Was a Song
* 1973 - The Fabulous Johnny Cash
* 1973 - Johnny Cash and His Woman
* 1973 - Sunday Morning Coming Down
* 1973 - Ballads of the American Indian
* 1974 - Ragged Old Flag
* 1974 - Five Feet High and Rising
* 1974 - The Junkie and the Juicehead Minus Me
* 1975 - Johnny Cash Sings Precious Memories
* 1975 - The Children's Album
* 1975 - John R. Cash
* 1975 - Johnny Cash at Osteraker Pirsion
* 1975 - Look at Them Beans
* 1975 - Strawberry Cake
* 1976 - One Piece at a Time
* 1976 - Destination Victoria Station
* 1977 - The Last Gunfighter Ballad
* 1977 - The Rambler
* 1978 - I Would Like to See You Again
* 1978 - Greatest Hits, Volume III
* 1978 - Gone Girl
* 1979 - Johnny Cash - Silver
* 1979 - A Believer Sings the Truth
* 1980 - Rockabilly Blues
* 1980 - Classic Christmas
* 1981 - The Baron
* 1981 - Encore
* 1982 - The Survivors
* 1982 - A Believer Sings the Truth, Volume I
* 1982 - The Adventures of Johnny Cash
* 1983 - Johnny Cash - Biggest Hits
* 1983 - Johnny 99
* 1983 - Songs of Love and Life
* 1984 - I Believe
* 1985 - Highwayman
* 1986 - Rainbow
* 1986 - Class of '55: Cash, Perkins, Orbison & Lewis
* 1986 - Heroes: Johnny Cash and Waylon Jennings
* 1986 - Believe in Him
* 1987 - Johnny Cash: Columbia Records 1958-1986
* 1987 - Johnny Cash is Coming to Town
* 1988 - Classic Cash
* 1988 - Water From the Wells of Home
* 1990 - Johnny Cash: Patriot
* 1990 - Boom Chicka Boom
* 1990 - Johnny Cash: The Man in Black 1954-1958
* 1991 - The Mystery of Life
* 1991 - Johnny Cash: The Man in Black 1959-1962
* 1991 - Come Along and Ride this Train
* 1992 - The Essential Johnny Cash
* 1994 - American Recordings
* 1995 - Highwaymen: The Road Goes on Forever
* 1996 - Unchained
* 1996 - Johnny Cash: The Hits
* 1998 - VH1 Storytellers: Johnny Cash and Willie Nelson
* 1998 - Johnny Cash at Folsom Prison and San Quentin
* 1998 - Johnny Cash: Crazy Country
* 1998 - Johnny Cash: Timeless Inspiration
* 1998 - Johnny 99
* 1999 - Johnny Cash: Super Hits
* 1999 - Johnny Cash and Carl Perkins: I Walk the Line/Little Fauss and Big Halsy
* 1999 - Just as I am
* 1999 - Rickabilly Blues
* 1999 - Cash on Delivery: A Tribute
* 1999 - The Legendary Johnny Cash
* 1999 - Johnny Cash and June Carter Cash: It's All in the Family
* 1999 - Johnny Cash at Folsom Prison
* 1999 - Sixteen Biggest Hits
* 2000 - Return to The Promised Land
* 2000 - Love, God and Murder
* 2000 - At San Quentin
* 2000 - Super Hits
* 2000 - American III: Solitary Man
* 2001 - Sixteen Biggest Hits: Volume II
* 2002 - American IV: The Man Comes Around
* 2003 – Unearthed
* 2004 – My Mother's Hymn Book

albums Posthumes :

* 2006 - Double album At Folsom Prison / At San Quentin (The 2 classic prison concerts)
o Album Duets Johnny Cash & June Carter Cash.
o Bande originale du film Walk The Line : Chansons de J. Cash interprétées par Joaquin Phoenix.
* 2006 - American V: A Hundred Highways
* annoncé - American VI
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMar 19 Sep - 18:25

je trouve sa top on n'en redemande
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMar 19 Sep - 22:56

ha wué quand méme bon boulot ^^
et je connaissé la dernière afro
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMar 19 Sep - 23:05

comment tu fait pour mettre les misique??????
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMer 20 Sep - 2:34

Donc aujourd'hui je vais présenter Jeff Buckley (1966 ; 1997)

Découverte d'artiste Jeffbuckley02rzz4.th


BIOGRAPHIE


Enfance

Jeffrey Scott Buckley naît le 17 novembre 1966 dans le comté d'Orange County, en Californie. Il est éduqué par sa mère, la pianiste et chanteuse panaméenne Mary Guibert, divorcée de son père, le musicien et chanteur éclectique Tim Buckley. Ce dernier ne connaît que très peu son fils, (ils ne se seront vus que quelques fois) et meurt d'une surdose en 1975, à vingt-huit ans ; Jeff n'en a que neuf. Il grandit quand même dans un univers musical, en écoutant d'abord les Beatles, Simon et Garfunkel, et ensuite Lou Reed, Joni Mitchell ou le groupe anglais Led Zeppelin. Aux goûts éclectiques, il aime aussi écouter sa mère jouer de la musique classique au piano, et même Édith Piaf, qu'il découvre à l'école. À partir de six ans, il se met à jouer de la guitare et du piano. Sa jeunesse est aussi rythmée par de nombreux déménagements avec sa mère, avec un niveau de vie parfois tout juste suffisant.

Solitaire, désirant faire carrière dans la musique, Jeff Buckley rêve de New York. C'est à l'occasion d'un concert en hommage à Tim, à l'église Saint-Ann, que Jeff quitte la Californie pour s'installer à New York, où il rencontre Gary Lucas.

Carrière

Jeff est remarqué lors de cet hommage à son père. Il attira lors de cette soirée la convoitise du public scotché par son interpréation des chansons de son père, accompagné par le fameux guitariste Gary Lucas. Mais il émerveilla son auditoire par son interprétation a capella (l'électronique l'abandonna malgré lui) de Once I Was, titre de son père, avec lequel il aura toujours entretenu d'ambigüs sentiments. Il rejoint le groupe de Gary Gods and Monsters en 1991 . Sous le mécénat d'Imago, un label indépendant, Lucas écrit les musiques dont Mojo Pin et Grace alors que Jeff écrit les paroles et les chante avec sa voix si particulière! Jimmy Page a même dit de lui : « techniquement c’est le meilleur chanteur des 20 dernières années ». Quelques mois et concerts plus tard, Buckley et Kate Hyman, la directrice artistique d'Imago, mettent fin à l’association.

Influencé par de nombreux courants musicaux (rock, folk, funk, jazz, pop, soul...), Jeff cherche alors à acquérir de l'expérience, et à se produire seul. Avec l'aide d'une amie, Rebecca Moore, il trouve l'occasion de jouer le lundi au Sin-é café. Il s'y installe même petit à petit pour y interprèter surtout des reprises, de Bob Dylan, Nina Simone, Édith Piaf ou encore Van Morrison mais aussi quelques-uns de ses titres, Mojo Pin, et des chansons qu’il avait écrites à la fin des années 1980, comme Eternal Life. Il devint même l'attraction principale du Lower East Side lors de cet été 93. Tout Manhattan parle du chétif gamin, et de sa voix d'exception. Si bien qu'attirant les limousines des grandes maisons de disques, il décide de signer un contrat avec Sony music, privilégiant, selon ses mots, sa liberté d'artiste à l'argent. Columbia lui fait enregistrer le maxi Live at Sin-é.Celui-ci sort en novembre 1993. Il a été réédité en version augmentée « Legacy edition » composée de deux CDs et d’un DVD en 2004. Jeff se dira déçu de ce maxi il ne se trouva pas en forme, perturbé par un auditoire de costards-cravates.

Il passe ensuite le plus clair de son temps à chercher les musiciens qui formeront son groupe, pressé par Columbia. Jeff disait toujours que c'est la musique en groupe qui l'attirait le plus. Il finit ainsi par recruter le guitariste Michael Tighe qui était jusque là son élève de guitare, le bassiste Mick Grondahl et le batteur Matt Johnson pour une tournée aux États-Unis et en Europe, et surtout pour enregistrer son premier album studio, comprenant entre autres Mojo Pin, Grace, Eternal Life, Hallelujah (reprise de la chanson de Leonard Cohen) et Corpus Christi Carol (reprise de Benjamin Britten). L’album Grace naît en août 1994, sort en Europe puis aux États-Unis. Jeff et son groupe sont déjà repartis en tournée en Irlande, d’où est originaire son grand-père paternel, lorsque Grace sort aux États-Unis. Ce sont en fait deux années de tournées ininterrompues qui commencent.

Grace reçoit un très bon accueil, plus encore en Europe qu’aux États-Unis. Grace est récompensé par le prestigieux prix Charles Cros en 1995. Emporté par sa passion des concerts où il chante et joue de la guitare en transe, Jeff s’épuise dans des tournées interminables, dans des concerts mémorables (Bataclan) ou prestigieux (Olympia), des petits festivals partout dans le monde ou un retour triomphal au Sin-é.

En 1996 le groupe s'arrête, pour tourner une nouvelle page de sa carrière : commencer l'écriture d'un second album. Après l'immense succès de Grace, c'est une énorme pression qui pèse sur les trop frêles épaules de Jeff, ajoutée à la fatigue des tournées. Buckley fuit à Memphis et peine à écrire. Début 1997, le groupe effectue une tentative ratée d'enregistrement de ce second album, My Sweetheart The Drunk.

Le 29 mai 1997, le groupe revient à Memphis pour réenregistrer avec de nouveaux arrangements et quelques nouvelles chansons My Sweetheart The Drunk. Attendant leur arrivée, Jeff Buckley se promène au bord du boueux affluent Wolf River avec son ami Keith Foti et décide d’aller se baigner, tout habillé, au son de Led Zeppelin II que crache le ghetto-blaster. Après le passage d’un bateau à roues il disparaît dans les eaux. Son corps est retrouvé dans le Mississippi trois jours plus tard, vingt-deux ans et un mois après la mort de son père.

Sa mère s’est chargée d’éditer de très nombreux albums, pour la plupart des extraits des enregistrements de ses concerts, et des rééditions des EP promotionnels. En 1998 sort "Sketches For My Sweetheart The Drunk", double album composé de la 1re session d'enregistrement, dont Jeff n'était pas satisfait, et des démos 4-pistes qu'il a enregistré seul à Memphis plus tard, comme brouillon pour ce qui aurait dû être le nouvel album "My Sweetheart The Drunk". Sortent en 2002 Songs To No One, reprenant ses chansons avec Gary Lucas, puis pour les dix ans de l’album, une version remasterisée de Grace, nommée Grace Legacy Edition.

Jeff Buckley a eu une influence considérable dans le monde musical des années 90. En particulier il est un des principaux inspirateurs de la vague pop/rock mélancolique et les groupes Radiohead, Coldplay, Starsailor, qui reconnaissent tous son influence. Il fut aussi un personnage atypique du monde du disque qui pendant ces années 90 prit une tournure toujours plus commerciale; il fut une anomalie du système; le devant à son talent. Franc rigolard et aimant la vie on essaya un moment de lui coller l'image d'un artiste maudit, d'une icône rock maladive. Jeff Buckley n'était cependant qu'un musicien d'exception, loin des préfabriqués du genre

















Donc voilà, je suis un peu déçu par la qualité du son mais c'est ce que j'ai trouvé de mieux.

DISCOGRAPHIE


Album

* Grace Août(1994), label Columbia Records

Albums posthumes

* Sketches for My Sweetheart The Drunk (1998)
* Mystery White Boy (2000)
* Live In Chicago (DVD/Video) (2000)
* Live à L'Olympia (2001)
* Songs To No One 1991-1992 (2002)
* Live at Sin-é Legacy Edition (2003)
* Grace EP's (2002) contient cinq EP
* Grace Legacy Edition (2004)


Pour ce qui est de la musique tu dois mettre aller sur ce site http://www.radioblogclub.com et s'inscrire. Après c'est expliqué ^^
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMer 20 Sep - 15:52

heu comment tu fait car j'ai le lien qu'il donne mais quand je le mais sur mon forum ba sa mait pas de musik .... scratch scratch scratch
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMer 20 Sep - 16:04

En fait il faut que tu ailles avant dan spanneau de configuration, puis configuration et en fin tu mets autoriser le HTLM. Voili voilou.

Tu dois aussi aller dans ton profil et autoriser le HTLM aussi ^^
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMer 20 Sep - 22:19

ha oké Merci Beaucoup geek
et sinon "Alléluya" elle défonce, c'est la méme que dans shrek alien
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeMer 20 Sep - 22:47

Oui c'est la plus connu de Jeff. Ce chanteur déchire en général ^^
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeJeu 21 Sep - 0:58

Juste envie de mettre une chanson du Donjon de naheulbeuk

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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeJeu 21 Sep - 1:05

Si vous connaissé pas les BD ou histoir en MP3 je vous conseil de le voir car sa vaut le coup geek geek geek geek
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeJeu 21 Sep - 7:38

mdr moi je les ai tous^^
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeJeu 21 Sep - 10:39

Aujourd'hui est un jour nouveau donc nouvelle artiste à présenter. Je vais vous présenter The Who. Je ne connais pas de personnes aimant ce groupe mais c'est pas grave ^^

Découverte d'artiste Thewhoposterc12171698qc6.th


Biographie


1961 - 1965 : les origines


La préhistoire des Who commence en 1961, lorsque Pete Townshend entre à l'école d'art de Ealing, où il crée avec son ami John Entwistle un groupe de Jazz Dixieland. Pete y tient le banjo, dont il joue, en plus de la guitare, depuis l'âge de 12 ans, tandis que John, plus éduqué musicalement, joue des cuivres. Impressionné par leur maîtrise instrumentale, le grand, musclé et impulsif Roger Daltrey, étudiant et ouvrier métallurgiste à ses heures, les "invite" à rejoindre son groupe de skiffle, dont il est le guitariste solo. Les deux musiciens amateurs n'ont guère le choix ... Devenus les Detours, les futurs Who se consacrent au Rhythm and Blues, et sont rejoints en 1964 par le batteur Keith Moon. Le line-up historique est au complet, et le groupe rebaptisé The Who. Il change brièvement de nom en 1964 pour The High Numbers sous l'influence de leur manager Peter Meaden, mais celui-ci est promptement viré, et le groupe recouvre son nom.

A cette époque, les Who sont associés au mouvement mods, alors même qu'ils n'en ont jamais vraiment fait partie. Vêtus de manière sophistiquée comme les mods, ils pratiquent une musique qui fait le lien entre la musique noire, très prisée de ses derniers, et le Rock and Roll de leur ennemis les Rockers. Dès les débuts du groupe, les concerts revêtent une importance essentielle pour le groupe : les Who jouent de manière très énergique, à un volume sonore jamais vu à l'époque, et Pete Townshend détruit systématiquement sa guitare et une partie du matériel à la fin de la dernière chanson (ce qui n'est pas sans entraîner quelques problèmes de trésorerie). Cette énergie hors du commun les fait rapidement connaître en tant que groupe de scène dans une Angleterre dont les groupes de Rock sont encore assez propres sur eux, au moins en apparence.

1965 - 1968 : les Who, groupe à singles


C'est en 1965 que les Who décrochent leur premier hit single avec I Can't Explain, une chanson à propos de la difficulté de communiquer de Townshend, qui sera rapidement suivie par Anyway, Anyhow, Anywhere, morceau plus pop qui sera le seul jamais composé en commun par Townshend et Daltrey. La même année sort My Generation, premier album du groupe qui contient futurs hymnes, tels le morceau éponyme où Townshend clame, par la voix de Daltrey, qu'il espére "mourir avant d'être vieux" ("I hope I die before I get old"). Certains y voient l'origine du mouvement Punk. Mais les paroles ne sont pas le seul intérêt du morceau : le guitariste y fait égalemment l'une des premières utilisations enregistrées du feedback et un duo avec Entwistle qui contient des lignes de basse d'une virtuosité jamais entendue à l'époque. On trouve également sur le disque des titres montrant la maîtrise de l'écriture de Townshend, comme Substitute, qui sera censuré à la radio à cause de lignes comme "I look all white but my dad was black", et Pictures of Lily, consacrée à l'art de la masturbation.


Les singles suivants, I Can See For Miles et Magic Bus, établissent définitivement la réputation des Who en tant que "groupe à singles". Mais Townshend voit plus loin : à l'image des Beatles, il veut expérimenter d'avantage dans sa musique et réaliser de véritables albums, cohérents et ambitieux. En 1966, le groupe sort l'album A Quick One dont la chanson éponyme, qui comporte plusieurs parties distinctes, a été considérée depuis, à la lumière des travaux suivants du groupe, comme un "mini-opéra Rock". Le disque est suivi par The Who Sell Out ("Les Who se vendent" ou "les Who sont des vendus"), album concept qui se présent sous la forme d'une émission de radio, avec jingle et publicités parodiques composées et interprétées par le groupe. Malgré son statut de concept-album, Sell Out est le sommet des Who en tant que "groupe à singles", avec I Can See For Miles, le 45 tours le plus vendu de leur histoire.

1969 - 1973 : art-Rock

En 1968, le nom des Who est sur toutes les lèvres : leurs prestations - littéralement - explosives au festival de Monterey et à la télévision ont porté leurs fruits. Pete Townshend donne alors une interview au magazine Rolling Stone, annonçant son intention de sortir un véritable Opéra Rock. Il tient parole l'année suivante avec Tommy, qui, s'il n'est pas le premier - cet honneur revient aux Pretty Things, reste l'Opéra Rock le plus célèbre à ce jour. Métaphore des difficultés de l'enfance de Townshend, Tommy raconte l'histoire d'un jeune enfant sourd, muet et aveugle à cause d'un secret qu'il ne doit avouer à personne. L'album contient des moments musicaux hors du commun tels que Pinball Wizzard ou Amazing Journey. Joué sur scène dans sa quasi-intégralité notamment à Woodstock (où Townshend agressa à coups de guitare une personne qui tentait d'interrompre le concert pour prononcer un discours), Tommy propulse le groupe au rang de superstars dans le monde entier, encourageant Townshend à se lancer dans un projet plus ambitieux encore.


Après avoir sorti Live at Leeds, souvent considéré comme le meilleur album live de tous les temps, les Who s'attèlent au projet Lifehouse, un concept assez obscur de disque-concert-show radiophonique basé sur une collaboration active entre les Who et leurs public et une histoire située dans un avenir où seul le Rock peut sauver le monde. Mais le concept est trop ambitieux et échoue à mi-chemin. Les Who ont néanmoins enregistré suffisamment de morceaux pour sortir un album, Who's Next, qui est encore un énorme succès. Fondé en grande partie sur l'utilisation de la dernière invention en date en matière d'instrument de musique, le synthétiseur, Who's Next est le premier album Rock à contenir des pistes électroniques pré-programmées qui, contre toute attente, s'intègrent parfaitement bien à la musique des Who.


Avec l'album suivant, Quadrophenia, en 1973, les Who reviennent avec succès à l'Opéra Rock. Ce disque, qui raconte les tribulations d'un jeune mod souffrant d'un quadruplement de personnalité (une "quadrophénie", même si le terme est inexact). Chacune de ses personnalité correspond à un membre du groupe et à un thème musical. L'album, si son succès commercial est inférieur à celui de Tommy, constitue une réussite artistique encore supérieure, avec des claviers et des guitares qui s'interpénètrent parfaitement.


Hélas, la tournée qui suit est loin de se passer aussi bien : le groupe ne parvient pas à jouer par dessus les bandes d'effets sonores et de sons électroniques enregistrés, qui se désynchronisent en permanence. Furieux, Pete Townshend détruit tout le matériel de la tournée au cours d'un concert, et revient à un spectace plus simple avec les extraits les moins compliqués de l'album.

1974 - 1982 : l'errance

Après Odds and Sods, une compilation de faces B sortie en 1974, les Who enregistrent en 1975 un nouvel album, The Who By Numbers, sinistre et dominé par les claviers. Townshend, qui est en pleine dépression et dont la consommation de drogues et d'alcool n'arrange rien, livre avec ce disque une véritable "lettre de suicide", selon les mots d'un journaliste. L'album se vend mal et le groupe s'éloigne des scènes, préférant travailer sur la version cinéma de Tommy. Ils rejoignent malgré tout le studio en 1978 pour enregistrer Who Are You, album plutôt expérimental comprenant plus de claviers que de guitares. Souvent détesté, ce disque est pourtant une brillante exploration sonore qui revient à un son plus gai et montre un regain d'intérêt du groupe pour la musique. Hélas, les Who sont coupés net dans leur élan par la mort subite de Keith Moon, le 7 septembre 1978, d'une overdose du médicament qu'il prenait pour traiter son alcoolisme galopant. Brisé, le groupe décide malgré tout de continuer et embarque le batteur Kenny Jones pour une tournée mondiale qui vise à prouver que les Who sont toujours vivants. Mais le sort s'acharne sur eux : le 3 décembre 1979, à Cincinnati dans l'Etat américain de l'Ohio, une bousculade juste avant un de leurs concerts fait onze morts parmi les spectateurs. Le groupe est horrifié : Daltrey s'effondre en larmes dans les coulisses. Rien ne sera plus comme avant pour le groupe.


La seule actualité des Who les années suivantes est cinématographique : en 1979 sort un documentaire sur eux, The Kids are Alright, dont l'excellente BO est plus tard disponible sur disque, et ils produisent la même année une version filmée de Quadrophenia, dans laquelle figure notamment Daltrey. En 1981 sort Face Dances, suivi l'année suivante par It's Hard. Ces deux albums au son très pop sont bien accueillis par la presse, mais moins par le public qui les boude. Townshend se sent de plus en plus mal à l'aise au sein du groupe, prend de plus en plus de drogues et finit par craquer et dissoudre les Who en 1982, interrompant une séance d'enregistrement pour expliquer aux autres musiciens qu'il "ne peut plus écrire pour les Who." Suit une triomphale tournée d'adieu qui bat des records d'audience, mais le coeur n'y est plus depuis longtemps.

Depuis 1982 : un groupe en demi-sommeil


Depuis 1982, les Who n'ont sorti aucun véritable album, mis à part quelques excellents lives sortis de leurs archives, dont le légendaire Live at the Isle of Wright. On a pu néanmoins les voir plusieurs fois sur scène avec divers batteurs. Le 27 juin 2002, à la veille d'une nouvelle tournée mondiale qui devait marquer le grand retour du groupe, John Entwistle est trouvé mort dans une chambre d'hôtel de Las Vegas, victime d'une crise cardiaque. Il aurait apparemment décidé de fêter le retour de son groupe en prenant de la cocaïne, ce que n'a pas supporté son coeur déjà usé par des années d'excès.


Malgré le décès d'Entwistle, les Who ont repris un rythme de tournées assez important depuis 2002, et semblent très en forme, même si leur son n'est plus ce qu'il était. Leur nouvel album, le premier depuis plus de 25 ans, est prévu pour le 30 octobre 2006. Ils ont en attendant sorti le 24 juillet dernier Wire and Glass, un mini-opéra de 11 minutes qui contient des extraits de 6 titres qui figureront sur ce prochain album. Disponible uniquement au Royaume Uni, Wire and Glass est le premier disque des Who depuis 23 ans












DISCOGRAPHIE


* 1965 : The Who Sings My Generation
* 1966 : A Quick One
* 1967 : The Who Sell Out
* 1969 : Tommy
* 1970 : Live at Leeds (album live)
* 1971 : Meaty Beaty Big and Bouncy (compilation)
* 1971 : Who's Next
* 1973 : Quadrophenia
* 1974 : Odds and Sods (compilation de faces B)
* 1975 : The Who By Numbers
* 1978 : Who Are You
* 1979 : The Kids are Alright (bande originale du documentaire du même nom sur le groupe)
* 1981 : Face Dances
* 1983 : It's Hard
* 1984 : Who's Last (album live)
* 1990 : Join Together (album live)
* 1996 : Live at the Isle of Wight Festival 1970 (album live)
* 2006 : Wire and Glass (mini album sorti uniquement au Royaume Uni)
* 2006 : Endless Wire (Prévision de sortie : 10/2006)


Je suis quand même content car j'ai trouvé un nouveau passe-temps quand je n'arrive pas à dormir ^^
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green
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeJeu 5 Oct - 16:53

ne me dis pas que tu ecris tout ça!!??!!?? affraid affraid affraid
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heidegger
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeLun 12 Mar - 3:39

Non je n'écrivais pas tout ça ^^

En tout cas si vous voulez je pourrais vous mettre quelques autres artistes un de ses quatres...
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Albatore
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitimeLun 12 Mar - 19:01

Va zi je t'en prit Smile
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MessageSujet: Re: Découverte d'artiste   Découverte d'artiste Icon_minitime

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